Mesure 34. Eduquer et mobiliser les jeunes générations
Éduquer et mobiliser les jeunes générations, depuis l’école jusqu’à l’université.
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Pression(s)
Cible(s) cadre mondial
Profil(s) concerné(s)
Pilotes principaux
- Ministère de l'Education nationale
- Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
- Ministère de l'Agriculture
- Ministère de la Transformation et de la fonction publique
- Office français de la biodiversité
- Agence du service civique
- INSP
- Muséum national d'histoire naturelle
Voir l'intégralité de la fiche mesure 34
Contexte et enjeux
On constate aujourd’hui un éIoignement des popuIations par rapport à la nature en raison notamment de modes de vie de plus en plus urbains. Or, le contact avec la nature au cours de I’enfance et de I’adoIescence favorise Ia propension à vouIoir Ia préserver en développant un autre rapport au monde, à la consommation, à I’environnement. La sensibiIisation et I’éducation des jeunes générations est donc un levier essentiel et doit débuter dès le plus jeune âge, jusqu’à Ia formation universitaire incIuse. lI s’agit égaIement de former et d’accompagner Ies jeunes générations pour répondre à Ieur voIonté d’engagement et Ieur permettre d’agir en citoyens responsables, dans et hors du cadre scolaire.
La mesure vise à renforcer Ia sensibiIisation et I’éducation des éIèves et des étudiants aux questions liées à la biodiversité et aux écosystèmes. Pour I’enseignement scoIaire, tous Ies éIèves sont concernés, dans les différentes voies de formation (générale, technoIogique, professionneIIe) et dans I’ensembIe des étabIissements scoIaires, reIevant de I’Education nationaIe pour I’essentieI et d’autres ministères teIs que Ies ministères chargés de I’AgricuIture, de Ia Transition écologique, des Armées, de la Transformation et de la fonction publiques, pour ce qui concerne les établissements sous leur tutelle ainsi que les établissements de I’enseignement supérieur qui reIèvent du ministère de I’Enseignement supérieur et de la Recherche. C’est ici un enjeu de continuité, de Ia materneIIe jusqu’à I’enseignement supérieur incIus.
Cet enjeu de continuité concerne aussi les dispositifs susceptibles de favoriser Ia sensibiIisation et I’engagement des jeunes dans d’autres temps d’activités hors temps scolaire, notamment le service national universel et les missions de service civique. Les jeunes expriment de manière croissante Ieur voIonté de s’engager au profit de Ia société et, en particulier, de contribuer de manière concrète et opérationnelle à Ia transition écoIogique. De Ia diffusion de connaissances à I’échange des bonnes pratiques I’objectif est d’adapter nos comportements pour nous permettre, à court et moyen termes, de vivre mieux avec et dans notre environnement. La mesure sera mise en œuvre avec des partenaires diversifiés : collectivités territoriales, établissements publics, réserves naturelles, parcs nationaux et régionaux, associations environnementales, réseaux d’éducation popuIaire …
Description de l’action :
Renforcer I’éducation et I’action en faveur de Ia biodiversité à I’écoIe, au collège et au lycée Le ministère de I’Education nationaIe et de Ia Jeunesse déveIoppe I’éducation au déveIoppement durabIe (EDD) auprès de tous Ies éIèves, tout au Iong de Ia scoIarité, depuis Ia materneIIe jusqu’à Ia fin du lycée, une éducation transversale qui repose sur les programmes scolaires des différentes disciplines et sur des projets pédagogiques concrets impliquant tous les élèves, notamment les éco−délégués. L’EDD est renforcée depuis 2019 : circuIaires ministérieIIes dédiées, enrichissement des programmes scolaires dans le domaine de la biodiversité et du climat, création et généralisation des éco−délégués de cIasse, piIotage de I’EDD au niveau des étabIissements et au niveau des rectorats, développement de partenariats et de ressources pédagogiques, éIargissement des missions des comités d’éducation à Ia santé, à Ia citoyenneté et à I’environnement (CESCE) par Ia Ioi CIimat et RésiIience d’août 2021. L’Etat poursuivra ce renforcement, notamment sur la biodiversité en particulier via :
- La production d’un référentieI de connaissances et de compétences, notamment sur la thématique biodiversité : propositions du Conseil supérieur des programmes (mars 2023) et élaboration de repères de progression par un groupe de travail ministériel en 2023 (3 thèmes publiés en octobre 2023, 3 autres thèmes prévus début 2024).
- Le renforcement de la formation des enseignants et de I’ensemble des personnels : en 2024 mise à disposition de modules de formation notamment sur la biodiversité et construction avec I’OFB d’une formation nationaIe dédiée aux aires éducatives qui sera accessible directement à tous les enseignants ; déploiement du plan de formation à la transition écoIogique des agents pubIics (1,2 miIIion d’agents à former d’ici 2027 pour I’Education nationaIe) ; au niveau académique, formation EDD avec volet biodiversité et aires éducatives dans 50% des académies en 2025 et 100% en 2027.
- Le développement de la labellisation E3D : en 2025 atteindre 20 000 écoles, collèges et lycées labellisés E3D (écoles et établissements engagés dans une démarche de développement durable), et 100 % des écoles, collèges et lycées labellisés E3D à I’horizon 2030.
- Diffusion du guide « Agir en faveur de la transition écologique dans les écoles, collèges et lycées » publié en juin 2023 dont un chapitre sur la biodiversité pour inciter au développement des installations favorables à la biodiversité et à son observation (ruches et nichoirs, mares et jardins pédagogiques, etc.), ainsi qu’à la végétalisation des cours d’école. Diffusion du cahier pratique de recommandations « Faire entrer la nature à l’école » publié en novembre 2023. Elaboration en 2024 d’un cahier pratique de recommandations « Faire entrer la nature à l’école » publié en novembre 2023. Eloaboration en 2024 d’un cahier pratique dédié aux spécificités du bâti scolaire en outre-mer.
- Un guide pour agir en faveur de la transition écologique dans les écoles, collèges et lycées : diffusion en 2023 dont un chapitre sur la biodiversité qui incitera au développement des installations favorables à la biodiversité et à son observation (ruches et nichoirs, mares et jardins pédagogiques, etc.), ainsi qu’à Ia végétaIisation des cours d’écoIe + un cahier pratique de recommandations dédié à la végétalisation des cours d’écoIe pubIié en 2024. Une déclinaison spécifique aux outre-mer sera préparée.
- L’éducation artistique et cuItureIIe comme levier pour I’éducation à Ia biodiversité : Le Ministère de I’éducation nationale, le Ministère de la Culture et les collectivités locales favoriseront Ia conception et Ie dépIoiement progressif d’une offre d’éducation artistique et cuItureIIe en matière de biodiversité. Le travail déjà en cours sera poursuivi pour la production de ressources et projets en EAC portés par les opérateurs du ministère de la Culture, ses réseaux labellisés et conventionnés, ainsi que les acteurs artistiques, culturels et éducatifs.
Apprendre au contact de la nature, en particulier par le développement à grande échelle du dispositif des aires éducatives L’Etat va encourager et déveIopper des dispositifs d’apprentissage au contact de la nature :
- Avec les fédérations nationales des gestionnaires d’aires protégées la SNB visera 100% de zones protégées (réserves naturelles, parcs naturels, sites Natura 2000, etc.) participant à Ia sensibiIisation des pubIics scoIaires à I’horizon 2030.
- Les structures scolaires et collectivités territoriales seront incitées à faciIiter I’accès des éIèves à des espaces natureIs de proximité, y compris en milieu urbain à la nature en ville.
- Développement massif des aires éducatives, ces petits espaces naturels gérés de manière participative par les élèves, encadrés par leurs enseignants et un organisme compétent en éducation à I’environnement. Ce projet pédagogique est mené par Ia cIasse et I’enseignant tout au Iong de I’année scoIaire et permet de compléter les enseignements scolaires par une mise en œuvre des apprentissages au contact de Ia nature. Il permet aussi de déveIopper I’éco−citoyenneté : les élèves se réunissent dans un conseil des élèves pour prendre des décisions pour la gestion de cet espace naturel aux côtés des acteurs locaux.
Indicateur(s) avec valeur cible :
Nombre d’académies ayant intégré Ia biodiversité dans leur programme académique de formation à destination des enseignants avec pour cible 100% des académies en 2027
Nombre d’écoIes et étabIissements scolaires labellisés E3D avec pour cible 100 % en 2030
Pourcentage de zones protégées participant à la sensibilisation des publics scolaires avec pour cible 100% en 2030
Nombre d’aires éducatives avec pour cibIe 18 000 d’ici 2030.
Pilote(s) :
MENJ / DGESCO
Description de l’action :
La formation initiale aux métiers de la mer est dispensée dans les lycées professionnels maritimes (LPM), au nombre de 12 en métropole et les établissements agréés. Le baccalauréat professionnel spécialité conduite et Gestion des Entreprises Maritimes (CGEM) et le BTSM Pêche et Gestion de I’Environnement Marin (PGEM) intègrent des moduIes d’enseignement et d’évaIuation sur Ie déveIoppement durabIe et Ies enjeux environnementaux. Ces formations s’adressent notamment à des élèves, étudiants et stagiaires de la formation professionneIIe dans Ia perspective d’exerce Ia profession de marin, notamment à Ia pêche. Les référentieIs s’insèrent dans un cadre réglementaire national et international. Cependant, hormis quelques ressources documentaires, Ies Iycées maritimes manquent d’outiIs pédagogiques pour enseigner les enjeux de la biodiversité dans les pratiques de pêche (zones réglementées, techniques et gestion des pêches par exemple). Pour y répondre, I’action s’articuIe autour de deux objectifs majeurs :
- L’approfondissement de I’intégration de ces enjeux dans I’ensembIe des moduIes de Ia formation initiale selon le référentiel par la création de supports pédagogiques.
- L’intervention de professionneIs.
Indicateur(s) avec valeur cible :
Nombre de référentiels de diplôme de la formation initiale intégrant les enjeux biodiversité avec pour cible 100 %
Production d’outiIs pédagogiques permettant de répondre aux attentes du référentieI de formation d’ici à Ia rentrée de septembre 2024.
Pilote(s) :
MIMER / DGAMPA
Description de l’action :
Dans Ies étabIissements d’enseignement agricoIe, mise en œuvre du Plan « Enseigner à produire autrement pour les transitions et I’agro− écoIogie » (EPA2), animation du réseau nationaI d’éducation au développement durable (RNEDD), accompagnement des élèves écoresponsables, valorisation de I’unité facuItative « engagement citoyen. Poursuite de Ia coopération entre I’OFB et Ie Ministère de I’agricuItureet de la souveraineté alimentaire (MASA − Direction de la recherche etde I’enseignement) permettant de renforcer I’intégration de Ia biodiversité dans I’enseignement agricoIe.
Indicateur(s) avec valeur cible :
Nombre d’éIèves écoresponsables accompagnés avec une cible de 800 par an dont une partie est issue des collectivités d’outre-mer
% de référentiels rénovés pour intégrer les enjeux de la biodiversité avec une cible de 100% en 2030
Pilote(s) :
MASA / DGER
Description de l’action :
lI existe 6 Iycées de Ia Défense dont 2 d’entre eux accueiIIent des élèves à partir du collège. Les lycées de la Défense appliquent tous les programmes de I’Education nationaIe du secondaire en ce qui concerne la biodiversité.
Le Ministère des Armées prévoit également la création et le dépIoiement d’un moduIe de sensibiIisation à Ia biodiversité à destination des éIèves des écoIes miIitaires d’officiers, de sous−officiers et de militaires du rang.
Indicateur(s) avec valeur cible :
Nombre de lycées prenant en compte la biodiversité dans la formation théorique et pratique qu’iIs proposent avec pour cible 100% d’ici 2027.
Nombre d’écoIes miIitaires sensibilisées avec une cible de 100 % d’ici 2030.
Pilote(s) :
MINARM / DTIE
Description de l’action :
Cette action rentre dans Ie cadre de Ia mise en œuvre des recommandations du rapport Abbadie/Jouzel remis en 2022 à la ministre de I’enseignement supérieur et de Ia recherche, par Ia mise en pIace d’un cycIe de formation de base à destination de tous Ies étudiants inscrits dans les formations de type Bac+2, Bac+3 (Universités et écoles), quel que soit leur domaine de formation, devant leur permettre d'acquérir le socle des compétences et de connaissances nécessaires à la bonne compréhension des enjeux liés à la transition écologique et au développement durable et notamment le changement climatique et la biodiversité. La biodiversité reste en effet un enjeu largement méconnu dans la plupart des Ecoles, notamment les écoles de commerce, les écoles d’ingénieurs et Ies instituts de sciences politiques. Ce chantier a vocation à être repris par tous Ies étabIissements d’enseignement supérieur proposant des formations de type Bac+2, Bac+3 qui dépendent d’autres ministères techniques. Ce chantier constitue la première étape d’une démarche gIobaIe qui va conduire à revoir ensuite le contenu des formations spécialisées produites par I’enseignement supérieur pour Ies trois cycIes (Iicence, master, doctorat).
La mesure vise à intégrer un module de formation dédié sur les questions liées à la préservation de la biodiversité et la lutte contre le changement cIimatique dans I’ensembIe des formations initiaIes de niveau premier cycle universitaire (Universités et écoles) de manière à ce que tous les étudiants, quel que soit leur domaine de formation, puissent acquérir à la fin de ce cycle, les compétences nécessaires à la bonne compréhension des enjeux et des solutions à promouvoir pour y répondre grâce à I’acquisition des connaissances indispensabIes. La mesure se divise en trois chantiers couvrant Ies domaines qu’iI faut maîtriser pour parvenir à Ia mettre en œuvre avec succès.
En détaiI, I’action consistera à :
- Produire le socle de connaissances et de compétences ainsi que Ies ressources pédagogiques à I’attention des étudiants Les connaissances et les compétences nécessaires à la compréhension des questions liées à la transition écologique, en prenant en compte les enjeux liés à la biodiversité, seront définies et délivrées à I’ensembIe des étudiants de niveau premier cycIe. Des ressources pédagogiques qui déclinent le contenu de ce socle de compatissances et de compétences seront mises à disposition de I’ensembIe des étabIissements au moyen d’un pôIe nationaI de ressources pédagogiques.
- Mettre en place la formation des enseignants−chercheurs des universités et des écoles à la transition écologique [Voir aussi Mesure 34 sur les métiers de la biodiversité et la formation continue] Quelle que soit la spécialité, un dispositif de formation ciblé sur les enseignants porteurs de cette offre dédiée sera mis en place. Au−delà des enseignants porteurs de cette formation, un autre chantier visera ensuite à ce que les enseignants intègrent la transition écologique, et donc I’enjeu reIatif à Ia biodiversité, dans Ieurs enseignements.
- Déployer des formations Le cahier des charges du socle de connaissances et compétences est délivré en juin 2023 à tous les établissements ESR afin que tous les étudiants puissent bénéficier de I’offre de formation à Ia transition écologique au plus tard à la rentrée 2025.
Indicateur(s) avec valeur cible :
Nombre d’étudiants de premier cycIe universitaire qui ont reçu une formation leur permettant de maîtriser le socle de compétences et de connaissances indispensables à la compréhension des enjeux de la transition écologique et du développement durable, notamment dans le domaine de la biodiversité, avec pour cible 100% des étudiants de niveau premier cycIe universitaire d’ici 2025
Pilote(s) :
MESR / DGESIP
Description de l’action :
L’lNSP a pris de nombreuses initiatives Iiées à Ia transition écoIogique dans ses programmes de formation, notamment initiale, qui montent en puissance progressivement. Cette dynamique est renforcée avec la mise en pIace d’un moduIe spécifique à Ia transition écologique dans le cadre du « tronc commun » aux écoles de service public, coordonné par I’lNSP. L’objectif est I’approfondissement de I’intégration de ces enjeux de transition écologique et environnementaux dans le cursus de formation initiaIe de I’INSP.
Dans Ie cadre de Ia formation initiaIe de I’lNSP, Ies élèves suivent un programme de formation en moyenne de 8 jours complets sur les enjeux de transition écologique et environnementaux, à dimension européenne. Ce programme est structuré par les différents temps qui impliquent les autorités françaises lors de la conception et de la mise en œuvre des poIitiques pubIiques européennes. Dans ce programme, des mises en situation pratiques et opérationnelles (négociations de textes européens, transposition des directives, gestion des contentieux européens) sont contextualisés et portent sur différents enjeux environnementaux (biodiversité et protection de la faune sauvage, quaIité de I’air, quaIité de I’eau).
Par ailleurs, I’lNSP assure, pour 15 écoIes de service pubIic, et 21 d’ici la fin 2024, le pilotage du tronc commun de formation destiné à développer la culture commune de l'action publique des élèves se préparant à l'exercice de fonctions d'encadrement supérieur ou juridictionnelles. Ce tronc commun articule 5 modules thématiques dont un sur la transition écologique.
Indicateur(s) avec valeur cible :
Part d’éIèves de la formation initiale suivant le programme contextualisé autour des enjeux de transition écologique et environnementaux avec la cible de 100% dès 2024
Nombre d’écoIes du tronc commun suivant Ie moduIe thématique « transition écologique » avec la cible de 100% soit 21 écoles dès 2024
Nombre annueI d’éIèves du tronc commun suivant le module thématique « transition écologique » avec une cible de 100% dès 2024
Pilote(s) :
Ministère de la transformation et de la fonction publiques / Délégation interministérielle de I’encadrement supérieur de I’Etat (Diese)/ lnstitut national du service public (INSP)
Description de l’action :
Comme les autres dimensions de la transition écologique, la restauration de la biodiversité et du vivant sera incorporée de façon obligatoire dans les référentiels de formation supérieure initiale des écoles nationales relevant du Ministère de la Culture : écoles nationaIes supérieures d’architecture, écoles de la création et du cinéma, écoles du patrimoine.
Indicateur(s) avec valeur cible :
L’ensembIe des référentieIs de formation des écoIes CuIture intègre la restauration de la biodiversité.
Pilote(s) :
Ministère de la Culture
Description de l’action :
Déployer massivement le service civique en faveur de I’environnement DépIoiement d’agréments coIIectifs, convention entre Ie MTECT et I’Agence du service civique pour faciIiter Ies agréments et éIargir I’éventaiI des missions de service civique orientées « nature » (accueiI du public, inventaires, interventions sur le milieu naturel, lutte contre les espèces exotiques envahissantes) ; conventions avec les opérateurs et partenaires pour promouvoir le dispositif, y compris au sein des collectivités.
- Poursuite du travail de sensibilisation aux enjeux environnementaux dans le cadre du Service National Universel (SNU)
Au regard du déploiement progressif du SNU, un nombre croissant de jeunes sont sensibilisés aux enjeux de la biodiversité dans le cadre du séjour de cohésion (une journée obligatoire) et s'engagent dans une mission d'intérêt général en faveur de la protection de l'environnement Etude de Ia faisabiIité d’une réserve citoyenne en faveur de I’engagement environnementaI pour Ies jeunes.
Indicateur(s) avec valeur cible :
Nombre de missions labélisées « Jeune et nature » annuellement et nombre de missions sur le thème de I’environnement proposées annuellement. Cible : d’ici à 2030, accueil de 10 000 jeunes supplémentaires en service civique
Nombre de jeunes sensibilisés à la biodiversité dans le cadre des séjours de cohésion du SNU
Nombre de missions d'intérêt général proposées sur la protection de l'environnement
Nombre de jeunes engagés dans une mission d'intérêt général en faveur de Ia protection de I’environnement
Pilote(s) :
MENJ / DJEPVA